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Securities Act‘ impose des règles précises en matière de communication aux entreprises en cours d’IPO (Initial Public Offering). La publication d’une interview de Larry Page et Sergey Brin, les co-fondateurs de Google, dans le numéro de septembre de Playboy, en plus de choquer bon nombre d’investisseurs ? le choix de la revue n’est sans doute pas du meilleur goût ? risque de heurter les règles du ‘Securities Act‘. Les conséquences de cette publication pourraient être considérables, la loi prévoit même le remboursement des valeurs acquises en cas d’annulation de l’IPO, ce qui est un scénario possible, d’autant plus que l’approche originale de Google, avec un site Web d’enchères préalable à l’offre définitive, est loin de satisfaire le marché. Ce ne serait d’ailleurs pas un cas d’espèce. En début d’année, SalesForce.com, le spécialiste du CRM en ligne, a vu son IPO reportée à la suite d’une violation de la ‘quiet period‘. L’attitude de Larry Page et Sergey Brin a le don d’irriter les acteurs du marché, alors que ‘The Wall Street Journal‘ confirmait dans son édition de vendredi que les régulateurs de la Bourse de New York ont hâte de voir l’entrée en Bourse de Google se terminer. Une nouvelle bourde, donc, à apporter au crédit de Google, qui ne manque pas de faire preuve de fébrilité, voire de légèreté (Lire nos articles).
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