La Saint Valentin n’est pas pour tout de suite, mais il faut s’y préparer? Et les Anglais ont trouvé une idée d’un romantisme achevé. C’est le correspondant de
The Australian qui s’en étonnait, le 3 janvier. Là bas, explique-t-il, les amoureux ont recours aux techniques de culture de tissu humain in vitro les plus sophistiquées, pour se déclarer leur flamme. C’est la « biobijouterie« . En clair, les couples s’échangent des anneaux en os, des os nés de la culture de leur dents de sagesse et d’un petit bout de gencive qu’ils se sont fait arracher. Le tout pousse pendant huit semaines dans une structure en forme d’anneau, en laboratoire. Puis, un styliste insère le « résultat » final dans une bague. L’os au doigt Matthew Harrison, 25 ans, qui va bientôt échanger sa bague avec sa douce et tendre Harriet Harriss, aurait concédé que certains pourraient trouver le procédé « disgusting« . Ce n’est certes pas l’avis de Tobie Kerridge, l’un des inventeurs du concept et chercheur auprès du British Royal College of Art. Et le procédé a obtenu d’accord des comités d’éthiques Chaque bague coûte néanmoins la bagatelle de 11.700 dollars à produire.
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