Après avoir renoncé au projet d’un Pentium IV à 4 Ghz, Intel révèle aujourd’hui que ses projets dans les puces pour télévision numérique resteront dans les cartons. Malgré sa volonté d’adresser le marché de l’électronique grand public, le premier fondeur mondial a estimé que le retour sur investissement n’était pas assuré.
« Nous avons décidé qu’au vu de l’investissement requis, du retour que nous aurions obtenu et du temps nécessaire pour parvenir à ce retour, il n’était pas fondé pour nous de poursuivre dans cette technologie particulière », a déclaré Bill Calder, porte-parole d’Intel. Les puces en question recourent à la technologie dite LCoS (pour « liquid crystal on silicon », cristal liquide sur silicium), qui n’avait jamais été commercialisée à grande échelle. Intel avait initialement prévu de livrer les premières puces aux constructeurs de téléviseurs à partir du second semestre 2004 pour une commercialisation des produits finaux à la fin de l’année avec des prix inférieurs à 2.000 dollars. Ce retrait fait un heureux : Texas Instruments. Le groupe est en effet déjà présent sur le marché des rétro-projecteurs avec sa technologie propriétaire. Il devrait d’autant mieux savourer sa victoire qu’Intel a récemment annoncé qu’il attaquerait le marché des téléphones mobiles, secteur archi dominé par Texas.
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