Intel a profité de son « Forum Developer US » pour mener une charge contre le Bios. La critique porte sur la difficulté à introduire des nouvelles technologies sur une plate-forme jugée ancienne, sur les problèmes de l’OptionROM, l’environnement jugé primitif, et le coût de déploiement et de maintenance.
Intel a donc présenté EFI, « Extensible Firmware Interface« , un projet d’interface se substituant au Bios. Indépendamment du CPU, et développé en C, la modularité d’EFI permettrait son adaptation aux futures plates-formes informatiques. Et pourrait intégrer TCP/IP en pré-boot, un avantage dont ne disposent ni le DOS, ni Linux.. Le projet ne va pas sourire à ses concurrents. Le Bios, malgré ses défauts, reste accessible à tous les intégrateurs, et adaptable aux différentes plates-formes des fabricants. Alors qu’EFI s’inscrit dans la stratégie d’Intel pour imposer Itanium, et le support d’Itanic, d’IA32 et de Xscale. Il reste que le défaut majeur du Bios s’agissant des dernières technologies provient de son incapacité à supporter les configurations de serveurs IO multi cartes.
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