La crise des télécoms est bel et bien derrière nous, vite oubliée… Un groupe d’investisseurs aurait fait une proposition impensable il y a quelques mois: pour prendre le contrôle de Wind, l’opérateur télécoms et Internet filiale de la compagnie d’électricité Enel, il est proposé la bagatelle de 12 milliards d’euros. On se souvient que France Télécom avait misé sur opérateur, mais l’avait très cher payé au moment de la déchéance des télécoms.
Ce groupe d’investisseurs, conduit par l’homme d’affaires italien Cesare Romiti, a annoncé avoir présenté une offre de rachat de l’opérateur Wind, filiale télécoms de la compagnie d’électricité Enel. L’opérateur est ainsi valorisé à hauteur de 12 milliards d’euros. Le consortium, candidat acheteur, a également annoncé prévoir également d’investir 2 milliards d’euros dans cet opérateur. Dans un communiqué, Enel a rejeté vendredi cette offre, la jugeant en deçà de ses attentes. Il explique qu’une introduction en Bourse reste son choix de prédilection et qu’en conséquence il commencera d’étudier la question l’an prochain, tout en restant disposé à examiner d’autres propositions pour autant qu’elles valorisent Wind de manière « adéquate ». On se souvient que France Télécom, pressé de reconstruire sa trésorerie, avait cédé ses parts dans Wind (26%) il y a deux ans, à Enel, un partenaire. Le montant de la vente s’était élevé à 1,5 milliard. Enel et France Télécom s’étaient alliés il y a six ans pour lancer Wind, le deuxième opérateur télécoms italien. Ce dernier est devenu le numéro trois des mobiles en Italie (8,1 millions d’abonnés) et le numéro deux de la téléphonie fixe.
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