Le patron du géant canadien d’équipements télécoms, dans une interview à Reuters, estime que le secteur des télécoms est aujourd’hui plus stable. Dans ces conditions, il estime que le marché n’ira pas vers des consolidations, mais plutôt vers des spécialisations sur des créneaux rentables. Franck Dunn rend d’ailleurs un jugement sévère sur les précédentes fusions : « Je pense qu’il est difficile de trouver une concentration qui ait été un succès« . Une analyse raisonnable, considérant que les équipementiers télécoms bénéficient déjà d’une couverture mondiale. Mais qui oublie une donnée économique essentielle: l’énorme endettement des acteurs des télécoms, qui pénalise leur capacité d’investissement. Dans ces conditions, de quelle marge disposent les opérateurs pour faire face à l’augmentation du trafic des données ? Car la réduction de leurs coûts de fonctionnement, que Franck Dunn juge encore trop hauts, passe par l’augmentation des dépenses d’investissement. Pour le patron de Nortel Network, un optimisme modéré s’impose.
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