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LANDesk installe son Service Desk sur le cloud

Spécialiste de l’administration du système d’information et de la sécurité, LANdesk annonce le lancement de son Service Desk en mode SaaS. L’éditeur a donc porté sur le cloud son offre de gestion de services informatiques sur le cloud, avec toute la richesse de son logiciel existant. Une solution qui complète le portefeuille Cloud de LANDesk comme Services Appliance et ses services hébergés de patch.

Un service SaaS complet

Les processus ITIL et leur logique et tous les mécanismes de règles sont identiques à ceux de la version logicielle. L’utilisateur accède à LANDesk Self service pour saisir et suivre ses incidents, tandis que Service Catalogue expose aux employés tous les services mis à leur disposition par l’informatique. Enfin, l’interface Web Desk ouvre Service Desk au navigateur Internet des analystes et administrateurs informatiques.

Jouant lui aussi la carte de la simplicité, Service Desk en SaaS permet de concevoir des processus sans saisir une seule ligne de code. Et l’éditeur souligne que « la solution ne nécessite pas de développement supplémentaire et se configure par glisser-déplacer ». Une caractéristique qui ne plaira peut-être pas aux intégrateurs. Bien que le fait de réaliser de simples glisser-déplacer entraine généralement des conséquences dont il vaut mieux comprendre les enjeux a priori…

Flexibilité et choix du modèle

Cette solution cloud peut simplifier grandement la gestion de plusieurs petites unités équipées en réseau local par exemple, avec un accès sécurisé en 24×7 à une infrastructure maintenue par des spécialistes. De plus, les mises à jour et la maintenance sont également incluses dans l’abonnement mensuel. L’entreprise peut choisir d’utiliser la solution SaaS avec toutes ses données et les services accessibles à distance via un simple navigateur Internet.

L’éditeur propose aussi un mode mixte conjuguant une utilisation du logiciel et du service cloud. Alors, les services, les points d’intégration et même les données sont répartis entre l’installation sur site et le cloud. Et l’entreprise peut décider de ce qui est traité sur le cloud ou sur site selon ses priorités : type de données, service, emplacement géographique… Et ces choix ne sont jamais définitifs. Des atouts évidents pour favoriser une bonne gouvernance.

Outre des frais d’entrée, le service sera facturé en nombre d’utilisateurs selon les modules choisis, et l’entreprise devra s’engager pour 36 mois. Ce délai semble un peu long. Toutefois, il s’agit d’infrastructure et non de comptes e-mails… L’éditeur propose cependant au client de repasser en mode logiciel sur site au cours de cette période s’il le souhaite.

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