Après un lancement en 2018 l’année dernière aux États-Unis, au Canada et en Europe, le bloqueur de publicités intégré de Chrome sera étendu à tous les pays du monde le 9 juillet prochain.
Sur la base des directives développées par la Coalition For Better Ads, Google avait lancé son propre bloqueur de publicités (ad blocker en anglais) à l’occasion du lancement de Chrome 71 en décembre dernier.
Les directives en question interdisent aux sites Web d’utiliser des stratégies publicitaires intrusives, telles que l’utilisation de fenêtres contextuelles ou de vidéos avec lecture automatique du son.
La firme de Mountain prévient à l’avance les sites Web pour qu’ils suivent les directives.
Les éditeurs pointés du doigt disposent ensuite de 30 jours pour se conformer aux directives. Faute de quoi Chrome filtre les annonces sur le site.
La recette a porté ses fruits puisqu’au début 2019, les deux tiers des éditeurs auparavant non conformes étaient en règle, alors que 1 % seulement des sites consultés avaient vu leurs annonces filtrées.
« L’application des normes de la Coalition par Chrome a incité de nombreux propriétaires de sites Web à améliorer l’expérience publicitaire sur leurs sites de manière à avantager les utilisateurs », précise Google dans un communiqué de presse.
Quant aux internautes utilisant Chrome qui souhaitent continuer à voir des annonces sur des sites abusifs, ils peuvent désactiver cette fonctionnalité via les Paramètres du butineur.
Vidéo signée Google :
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.