La police néerlandaise confirme certains rapports du FBI américain qui affirment les pratiques mafieuses en provenance d’organisations terroristes comme al Qaeda, ETA, le Hezbollah ou le PKK.
Ces organisations se seraient appropriées des techniques de scam (messages détournés destinés à inciter l’internaute à verser de l’argent sous promesse de gains importants, technique dite du Nigéria), de phishing (pour dérober les codes bancaires en détournant l’image de sites officiels) ou de vente de produits contrefaits, comme des CD ou des logiciels. Selon le FBI, ces pratiques criminelles seraient destinées à alimenter les caisses de ces organisations terroristes. Mais qu’en est-il dans la réalité ? On connaît la propension des services de sécurité américains ou britanniques à exagérer certains faits, et à les mettre à la sauce du terrorisme galopant ! Surtout qu’une nouvelle fois aucune preuve ne vient étayer la thèse de la dérive du terrorisme en ligne. A ce rythme, bientôt la RIAA (Recording Industry Association of America) accusera les utilisateurs de Kazaa d’alimenter les caisses des terroristes et la CIA accusera les vacanciers qui achèteront des sacs Vuitton contrefaits de fournir des armes aux disciples de Ben Laden. Et pourquoi pas les français qui achètent des cigarettes moins cher en Belgique de financer le comité belge de libération des moules frites, tant qu’on y est !
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