Etisalat, filiale d’Emirates Telecomms Corp, est le fournisseur des services télécoms des Emirats Arabes Unis. Depuis quatre jours, les ‘proxy’ d’Etisalt ont bloqué les sites d’AOL, dont une partie font d’ailleurs partie d’une liste locale de sites interdits.
Sous quels prétextes peut-on interdire les sites d’un acteur de l’internet aussi important qu’AOL, dont par ailleurs on connaît la rigidité parfois excessive ? Pour Etisalat, les sites d’AOL outrepassent les règles de conduite de l’opérateur. Ce dernier met directement en cause certains contenus à caractère criminel, ainsi qu’une forme d’apologie du vice, avec des contenus obscènes et des jeux d’argent. Plus insidieuses, les infractions au code moral ‘local’. Ainsi serait interdite « toute activité qui contrarie les valeurs sociales, culturelles, politiques, économique ou religieuse des Emirats Arabes Unis« . Une définition si vaste des valeurs morales que personne ne peut être à l’abri d’une censure aveugle?
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.