Les Etats-Unis ne veulent pas entendre parler d’une instance onusienne dont l’objectif serait de contrôler Internet. Pour le pays, il s’agit de défendre la liberté d’expression (sic) -encore le « free speech » constitutionnel. Washington espère convaincre que sa position est la bonne lors du premier sommet sur la technologie de l’information à Genève en décembre.
Pour les Etats-Unis et d’autres pays développés, il est fondamental que le contrôle d’Internet reste du domaine privé et ne soit pas transféré à une nouvelle agence de l’ONU, comme l’ont proposé la Chine et le Brésil. « Il est extraordinairement important que le secteur privé continue à le diriger », a dit David Gross, coordinateur au département d’Etat pour les communications internationales et la politique d’information. Il souligne que la liberté d’expression était un principe de base d’Internet et a rappelé qu’une entreprise américaine semi-privée, l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN), gérait déjà le réseau mondial. Par ailleurs, les Etats-Unis ne soutiendront pas non plus une proposition sénégalaise de créer un fonds de solidarité dans le domaine numérique pour financer des projets dans les pays en voie de développement. Vive le libéralisme.
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