MobilCom en a fait l’acquisition durant l’été 2000, pour environ 8 milliards d’euros. Mais le développement de la licence UMTS en Allemagne coûterait au minimum 15 milliards d’euros. Et MobilCom, tout comme son principal actionnaire France Telecom, ne dispose plus des moyens nécessaires à son déploiement.
De leur côté, les opérateurs européens n’ont plus la capacité de financement suffisante pour déployer un nouveau réseau 3G. Et le mouvement de désengagement risque de s’amplifier. Le Portugal a reculé d’un an la date de lancement de son réseau. Orange Suède s’est retiré. EtTelefonica, l’opérateur espagnol, a abandonné son projet de ‘joint venture’ avec l’allemand Sonear. Dans ces conditions, même en cédant sa licence pour 1 euro, MobilCom n’a pas encore trouvé preneur. Ni auprès des opérateurs européens, ni auprès des opérateurs américains. Des contacts ont été engagés avec des opérateurs asiatiques, en particulier NTT DoCoMo.
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