L’utilisation des téléphones portables contribue-t-elle à l’un des maux nationaux, l’insomnie ? Le sommeil avait été décrété « sujet de santé publique », en 2007, par Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé. Ce dernier dénombrait 10 millions de personnes souffrant d’insomnies ou autres troubles du sommeil. Et 56% des Français déclaraient avoir un mauvais sommeil et en être affectés dans leur vie professionnelle, d’après le ministère.
L’insomnie au bout des ondes
Au lieu de recourir à des petites pilules, les Français pourraient tenter de limiter l’usage de leurs téléphones portables. C’est de moins ce que suggèrent deux études scientifiques qui parviennent à des conclusions concordantes, rapporte La Stampa.
Les champs électromagnétiques des téléphones portables pourraient interférer avec les ondes cérébrales, et favoriser des troubles telle que l’insomnie, d’après les chercheurs de la Swinburne University of Technology de Melbourne, en Australie. Pour eux, les ondes du téléphone portable accroissent de façon importante l’activité des ondes alfa du cerveau. Or, ces dernières agiraient sur la distinction entre l’état de sommeil et l’état de veille.
Une seconde étude, menée au Royaume-Uni, par les chercheurs de la Loughborough University sleep, conclut, elle, que d’autres types d’ondes cérébrales, les ondes delta, également liées au sommeil, seraient également sollicitées par les émanations des téléphones portables : Les cobayes soumis à ces champs électromagnétiques ont eu besoin de deux fois plus de temps pour s’endormir que les autres. Le temps de passer quelques coups de fil…
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