Avec son parc de 14.000 PC, la troisième ville d’Allemagne représente à la fois un marché important et un compte à verrouiller. Car ce client fait aujourd’hui figure de symbole pour le développement des solutions logicielles « open source » dans les administrations et collectivités locales allemandes -sans oublier les entreprises.
Steve Ballmer, le p-dg de Microsoft, ne s’y est pas trompé. Il est venu personnellement à Munich auprès de son équipe commerciale. Il avait dans sa sacoche « l’offre qui tue »: une remise de 90% sur les logiciels Microsoft. Selon le site d’information en ligne ‘Heise’, la ville de Munich n’envisage plus de payer les licences Microsoft. Elle est en train de privilégier Linux et Free/Open Source Software (FOSS). Les 14.000 PC de Munich doivent être équipés de SuSE Linux et d’OpenOffice. Au-delà de la démonstration par Microsoft de sa volonté d’affronter Linux, cette tentative munichoise de résister à la montée du système gratuit en cassant les prix pourrait avoir d’autres conséquences: elle pourrait peser sur les procédures en cours auprès de la Cour de Justice européenne pour abus de position dominante. A lire en allemand https://www.heise.de/newsticker/data/anw-26.05.03-004/
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