NetIQ, une des nouvelles business units d’Attachmate, rend aujourd’hui publique la mouture 2.0 de Cloud Manager, son outil de gestion centralisée des infrastructures cloud.
Ce logiciel permet aux entreprises de piloter l’intégralité de leur IaaS (Infrastructure as a Service) : déploiement, comme retrait des services. Il est compatible avec une vaste gamme de solutions de virtualisation, vSphere, Xen, KVM et Hyper-V, et sera capable de gérer plus de 100 000 traitements applicatifs. Une offre conçue spécifiquement pour les infrastructures cloud massives et hétérogènes.
NetIQ Cloud Manager 2.0 propose une gestion avancée des traitements et services métiers, accessible en self-service. L’interface utilisateur de l’ensemble est compatible avec la plupart des navigateurs web desktops et mobiles. Il sera ainsi possible de piloter son infrastructure cloud depuis un smartphone ou une tablette.
« Les utilisateurs actuels attendent une fourniture transparente, automatisée et à la demande de services IT accessibles sur tous les terminaux. Et les responsables IT doivent être en position de répondre rapidement à ces demandes, sans pour autant détruire leurs modèles de production existants ni leurs équipes », explique Nicolas Bonte, directeur Europe du Sud NetIQ.
« En assurant la gestion de l’expérience IaaS avec un contrôle fortement granulaire de l’allocation de ressources, NetIQ Cloud Manager 2.0 aide les fournisseurs de services à gérer le flux et le reflux des demandes de services et à améliorer leur capacité de répondre effectivement aux besoins de leurs utilisateurs. »
Crédit photo : © Beboy – Fotolia.com
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.