Chassé croisé dans les télécoms européennes: on assiste à une redistribution des cartes entre la Belgique, le Royaume-Uni et la France
Belgacom, l’opérateur historique belge, a tout d’abord annoncé qu’il cédait au français SFR (filiale du groupe Vivendi), sa participation de 5,8 % dans Neuf Cegetel, soit 187 millions d’euros.
Cette cession permet à Belgacom de financer, partiellement, une autre opération: la prise de contrôle à 100 % de sa filiale de téléphonie fixe Proximus. Pour cela, l’opérateur belge va racheter à son homologue britannique Vodafone, pour 2 milliards d’euros, sa participation de 25 % dans sa filiale.
Concrètement, Belgacom se recentre dans ses activités principales, complétées sur les services professionnels par le rachat récent de Telindus.
Quant au géant Vodafone, il compte affecter le produit net de la cession à son désendettement, évalué à environ 665 millions d’euros.
Tous les protagonistes de cette consolidation à l’européenne ont indiqué que ces opérations n’auront pas d’influence sur leurs activités.
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