Les experts du Networks Business Group de Nokia ont choisi Red Hat Enterprise Linux comme système d’exploitation préféré pour les plates-formes de serveurs de classe opérateur. Mais la collaboration entre l’équipementier des télécoms et Red Hat est plus ambitieuse.
Ainsi, Nokia développera avec Red Hat des plates-formes de serveurs de classe opérateur servant d’infrastructure à une large gamme de nouvelles solutions Nokia. Ce dernier continuera de déployer ses solutions sur son offre FlexiPlatform, l’intégration complète de Red Hat Enterprise Linux devant être finalisée cette année pour une bonne partie de ses matériels supportant divers services.
« La plate-forme Red Hat Enterprise Linux est réputée depuis longtemps pour ses hauts niveaux de fiabilité et de disponibilité dans les environnements où l’interruption de service n’est pas envisageable. Avec l’aide de Nokia, nous nous efforcerons de renforcer encore la fiabilité de notre solution pour le marché des télécommunications« , a expliqué Paul Cormier, vice-président et directeur technique de Red Hat.
« Chez Nokia, nous misons sur la collaboration sur le long terme avec les acteurs les plus innovants de l’industrie. Notre objectif est de commercialiser des produits de pointe, ouverts et de grande qualité, gages d’une forte valeur ajoutée pour nos clients. Notre coopération avec Red Hat sur Enterprise Linux n’est qu’un nouvel exemple de l’expérience et de l’engagement de Nokia envers les technologies et écosystèmes ouverts« , a déclaré Juha Carlson, directeur général de la division Product Platforms at Networks, chez Nokia.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.