La bonne santé de la téléphonie mobile ne profite pas à tous. Les fabricants d’équipements de réseaux ne sentent pas encore le retour à la croissance. Car les opérateurs peinent à re-investir. Dans le même temps, l’arrivée des groupes asiatiques comme Huawei (Chine) a considérablement durçi le marché. En clair: il n’y a plus à manger pour tous.
Et pour Nokia, cette tendance fera des victimes. « Il y a déjà des signes clairs qu’au moins quelques fabricants de réseaux traditionnels pourraient se retirer de l’activité de réseaux mobiles », explique Simon Beresford-Wylie, patron de la filiale de réseaux du géant finlandais dans une interview au quotidien Helsingin Sanomat. Il n’a pas précisé à quelles entreprises il pensait. Rappelons qu’il y a quelques semaines, Siemens a décidé de céder sa division mobile (fabrication de combinés) au taiwanais BenQ.
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