Le premier fabricant mondial de mobiles mise beaucoup sur son nouveau produit phare: la console N-Gage qui fait aussi office de téléphone mobile. Le groupe finlandais, qui espère surfer sur le succès des consoles de jeux portables type GameBoy, pense écouler plusieurs millions d’exemplaires de cette machine en 2004.
Pour assurer son lancement (dont l’investissement serait de 100 millions d’euros), le bijou de Nokia profite d’une campagne de pub massive et sera distribué dans plus de 30.000 magasins à travers le monde. « Les prises de commandes émanant des distributeurs et des magasins de détail ont été très prometteuses. Elles sont signes d’un bon départ pour le N-Gage », souligne à Reuters Kari Tuutti, porte-parole de la division téléphones mobiles du groupe finlandais. Le N-Gage est basé sur la plate-forme de la série 60 de Nokia. Il est équipé d’un processeur ARM9 à 100Mhz (à comparer aux 16Mhz de la console de Nintendo), avec 24Mo de mémoire, et fonctionne sous le système d’exploitation Symbian, qui supporte la réception FM et les fichiers MP3. Il offre toutes les spécifications d’une véritable console de jeu portable. Il se présente comme une console Gameboy Advanced de Nintendo -jusqu’au support des jeux sur cartouches MultiMediaCard (MMC). Il été mis au point avec le groupe japonais Sega, dont Nokia a récemment repris l’unité de jeux vidéo en ligne. En outre, parallèlement aux fonctions classiques d’un téléphone mobile GPRS, le N-Gage disposera de la technologie sans fil Bluetooth, et autorisera jusqu’à six joueurs pour les jeux ‘multi-joueurs’.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.