Novell a entièrement repensé sa solution d’impression iPrint, avec la prise en charge du service d’annuaire Active Directory (en plus de LDAP) et de l’impression mobile.
Une évolution motivée par les résultats d’une récente étude d’IDC, qui indique que « le nombre d’utilisateurs qui ont fait appel à un appareil mobile pour imprimer des documents a considérablement augmenté en 2012, et le pourcentage de ceux qui n’impriment pas et ne veulent pas imprimer, va passer de près de 50% en 2012 à seulement 25% en 2015 ».
Difficile donc de passer à côté de la vague mobile.
Le nouveau iPrint permet de lancer des impressions depuis presque n’importe quel poste, vers toutes les imprimantes de l’entreprise.
Cette offre ‘sur site’ est compatible avec les postes de travail fonctionnant sous Windows, OS X et Linux, ainsi qu’avec les terminaux mobiles Android, BlackBerry et iOS.
« La main-d’œuvre actuelle étant de plus en plus mobile, Novell étend sa gamme de produits pour proposer des solutions efficaces et simples d’emploi qui permettent aux employés d’être productifs, quel que soit l’endroit où ils se trouvent et l’appareil qu’ils utilisent », explique François Benhamou, directeur Europe du Sud de Novell.
Novell iPrint a également le mérite de ne pas quitter le périmètre de l’infrastructure de l’entreprise.
Rappelons que l’éditeur a précédemment lancé un système de partage de fichiers lui aussi ‘on premise’ et compatible avec les terminaux mobiles : Novell Filr (voir « Novell Filr : partage de fichiers sans le cloud »).
Voir aussi
Quiz Silicon.fr – Les smartphones et tablettes du MWC 2013
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…