La perspective d’une OPA d’Oracle sur son concurrent PeopleSoft s’éloigne un peu plus chaque jour. Confronté au refus de l’éditeur et à la très grande méfiance des autorités européennes et américaines, Oracle a peu de chance de réussir. Alors il prépare des solutions alternatives.
Larry Ellison, patron de l’éditeur a ainsi expliqué qu’il envisageait trois ou quatre autres cibles. Et pas des moindres. Sont évoqués: BEA Systems, Siebel Systems et Business Objects. Pourtant, une fusion avec un des ces éditeurs ne changerait pas beaucoup l’attitude des autorités. Pour le département de la Justice, l’OPA d’Oracle est synonyme de restriction du choix pour la clientèle et de hausse des prix dans le segment des logiciels des ressources humaines et de la gestion financière. Oracle a tenté de contrecarrer cet argument en s’appuyant sur les témoignages de concurrents plus petits, tels que Lawson Software et Automatic Data Processing (ADP), pour soutenir sa thèse que bon nombre de firmes – dont de nouveaux venus comme Microsoft – se disputent en fait la clientèle des grandes entreprises.
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