Au terme d’une session de travail de deux jours, ce 2 avril, sur le dossier Oracle -PeopleSoft, les autorités de régulation de la concurrence à Bruxelles n’ont pas communiqué officiellement. Mais quelques informations ont filtré. D’ici au 11 mai et en attendant l’avis du ministère américain de la Justice, le 7 juin prochain, les arguments vont continuer de s’affronter. La question principale porte sur le fait de savoir si la fusion des deux éditeurs de logiciels créerait une situation de position dominante anticoncurrentielle, dans le domaine de la relation clients ou du logiciel de gestion financière. Tandis que certains grands comptes sont venus témoigner sur les risques d’hégémonie, le géant allemand du logiciel, SAP, n’aurait pas soulevé d’objections: selon lui, la Commission aurait une vision trop étroite du marché, en ne considérant que le haut de gamme des logiciels pour grands comptes. ( A suivre )
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