Le parti de Sonia Gandhi a gagné les dernières élections du Congrès en Inde. Mais ce qui passe pour beaucoup d’observateurs pour un progrès dans le sens de la démocratie, représente une menace pour certaines entreprises américaines. Ou tout du moins pour celles qui depuis quelques années ont intensifié leurs pratiques d’emplois off-shore (délocalisation de la production et des services vers des pays à faible coût salarial).
Car pour les entrepreneurs de la Silicon Valley, Sonia Gandhi représente trois tares dont ils se seraient bien passés : elle est la petite fille de Gandhi et représente un parti de gauche. Mais surtout elle va devoir composer avec le parti communiste indien pour obtenir une majorité au parlement. Certains observateurs s’attendent à un virage dans la politique économique du pays, et en particulier un coup de frein à la politique ultralibérale instaurée jusqu’à présent par le premier ministre Atal Bihari Vajpayee. Imaginez donc: une révision de priorités dans les paradis technologiques au profit de la fourniture d’eau et d’électricité à une population qui majoritairement n’y a pas encore accès, et un soutien aux infrastructures rurales afin de faciliter les échanges? Oui, vraiment, l’élection de Sonia Gandhi a de quoi soulever un vent de panique à la Silicon Valley et chez les grands investisseurs de la Bourse américaine.
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