Les experts de la Commission européenne ont visé juste. Derrière les alliances de ‘roaming’, se jouent indéniablement des scénarios de parts de marché et de tarification.
Comme le rappelle le correspondant des Echos à Bruxelles, deux alliances majeures se partagent le marché européen s’agissant de l’interconnexion des réseaux de mobiles, entre pays: – d’une part FreeMove, réunissant les poids lourds que sont les grands opérateurs historiques Deutsche Telekom, France Télécom, Telecom Italia, et Telefonica, – d’autre part Starmap, qui compte 11 onze membres, dont O2, Telenor, Wind (Italie), One (Autriche) et l’espagnol Amena, notamment. Les autorités de Bruxelles demandent que Telefonica ne puisse pas être dans les deux alliances: elles souhaitent que l’opérateur espagnol se retire de FreeMove. Car, à l’inverse, si O2 sortait de Starmap, ce serait encore renforcer le déséquilibre en faveur de FreeMove. Le risque porte notamment sur une hausse des tarifs, ou sur des ententes illicites.
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