Un porte-parole du groupe a confirmé que des discussions étaient en cours avec les représentants du personnel. Deux divisions seraient ‘impactées’: Information and Communications Networks (ICN) et Information and Communication Mobile Group.
Sur les 5.000 postes en discussion, la moitié serait susceptible d’être délocalisée. L’autre moitié ferait partie d’un plan de restructuration des unités de production en Allemagne notamment, où le groupe emploie 170.000 personnes. Siemens constate que ses concurrents ont déjà transféré une partie de leur fabrication dans des pays à faibles coûts salariaux comme l’Inde, la Chine ou l’Europe de l’Est. Fin mars (cf. nos informations), le d-g du groupe, Heinrich Pierer, avait été interpellé par les syndicats puis les hommes politiques sur l’hypothèse d’une vague de délocalisation de 10.000 emplois -mesure considérée comme « antipatriotique ». Dans un communiqué, la direction a rétorqué: « Nous ne resterons immobiles tandis que des postes disparaitraient un à un en Allemagne pour des raisons de compétitivité. Nous nous battons pour les conserver. »
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