Gagner de l’argent grâce au « peer to peer » c’est désormais possible. Snocap propose aux artistes et aux éditeurs indépendants de les protéger contre le piratage et d’obtenir une rémunération en cas de téléchargement.
Les réseaux P2P peuvent utiliser Snocap pour bloquer l’échange de chansons ou les remplacer par des versions protégées qui peuvent être contrôlées pas les propriétaires légitimes : les artistes. Pour l’instant, il n’y a qu’un service de P2P qui a accepté d’utiliser Snocap. Mais selon Reuters la compagnie est en cours de discussion avec d’autres firmes. L’espoir non dissimulé de Snocap est que les réseaux comme Kazaa et LimeWire utilisent ce programme pour mettre un terme à la bataille avec les majors et convertir le million de chansons qui est copié en une source de revenus stable. Trois des quatre plus importantes maisons de production, Universal Music Group, Sony BMG et EMI ont d’ores et déjà enregistré leurs titres avec Snocap tout comme des labels indépendants comme TVT et Rykodisc. Des négociations seraient en cours avec Warner Music Group. Le créateur de Snocap Shawn Fanning s’est fait connaître en devenant à une époque le pire ennemi de l’industrie du disque avec la création du premier programme de P2P, Napster. Un soft qui, à partir d’un service de téléchargement, est parfaitement légal et approuvé par l’industrie.
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