Les deux géants des télécoms mobiles se sont mis d’accord, pour une fusion relativement équilibrée. La valorisation serait égale à hauteur de 36 milliards de dollars. Mais les premiers commentaires laissent toutefois entendre que c’est Sprint qui aurait un léger avantage: ses actionnaires auraient un tout petit plus que 51% du nouveau groupe ainsi constitué et auquel il reste à trouver un nom. Toutefois l’activité de téléphonie fixe locale de Sprint serait cédée – ce qui est moins sûr s’agissant des communications sur longue distance. L’actuel directeur général de Sprint devrait prendre les commandes de la nouvelle entité qui se hissera au 3è rang des opérateurs de mobiles sur le marché américain. C’est aussi la confirmation que ce sont bien l’activité des mobiles qui tire à nouveau les opérateurs historiques.
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