Les deux groupes semblent vouloir se décider à fusionner pour constituer un opérateur capable de concurrencer Téléfonica. L’information a été révélée par le quotidien économique espagnol
Expansion qui fait état d’une offre ferme de Ono sur la division de câble du holding Auna pour une valeur de 2,7 milliards d’euros. Auna a pour principaux actionnaires Endesa et Union Fenosa (électricité), tandis que Ferrovial (construction), General Electric et Bank of America contrôlent Ono. Au siége d’Ono, la direction reconnaît que des conversations sont en cours mais que les informations du quotidien étaient prématurées. Cependant, on peut s’étonner du démenti du groupe Ono qui semble au contraire accréditer la thèse de la fusion. D’autant que l’idée d’une fusion n’est pas nouvelle: cela fait quatre années qu’elle est au centre des discussions et des contacts bilatéraux entre les responsables des deux groupes. En novembre dernier, Auna avait présenté sans succès, pour 2,4 milliards, une offre sur Ono. Cette fois, les négociations semblent être à une phase décisive. Une fusion créerait un opérateur de réseau câblé dans 14 des 17 régions espagnoles et assurerait le financement permettant d’achever de câbler le pays. Fusionner les deux réseaux profiterait également à l’expansion du marché du haut débit en Espagne, lequel a enregistré une croissance de 50% sur un an. Du côté de chez Téléfonica, l’inquiétude est grandissante: son quasi monopole est de plus en plus instable; et sa part de marché a fondu, chutant de 58.1% à 55.5%.
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