Hier, nous nous faisions l’écho des nouveaux outils mis en place par Facebook et Google afin de détecter et signaler les articles de désinformation référencés sur leurs services respectifs. Voir à ce propos notre précédent article « Les fausses news mises au rencard en France, à la veille des élections ».
Twitter, pourtant largement mis en cause pour des articles tendancieux lors des élections présidentielles américaines, était jusqu’alors resté silencieux. Le site de microblogging réagit toutefois aujourd’hui avec la présentation de ses outils de lutte contre les articles indésirables.
Le réseau social ne cible pas spécifiquement les fausses news, mais les utilisateurs indélicats, qui harcèlent certains utilisateurs via leur compte Twitter. Ou qui multiplient les articles discutables, voire répréhensibles.
« Nous prenons des mesures pour identifier les personnes qui ont été suspendues de façon permanente, afin de les empêcher de créer de nouveaux comptes », indique Twitter sur son blog.
La fonctionnalité de recherche est améliorée afin de ne plus livrer de résultats postés sur des comptes bloqués. Les articles jugés sensibles, abusifs, tendancieux ou de faible qualité sont également écartés du moteur de recherche de Twitter. Les messages concernés ne seront toutefois pas supprimés du réseau social.
À lire aussi :
Facebook va bloquer les fausses news et les hoax en Allemagne
Facebook veut mettre un frein aux hoax et fausses informations
Fausses news et contenus haineux : L’Allemagne menace Facebook
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.