Maintes fois repoussée, la téléphonie mobile de troisième génération ou UMTS devrait faire son apparition l’année prochaine si tout va bien, exception faite du lancement confidentiel de la 3G en Grande-Bretagne par Hutchison.
Mais les opérateurs aimeraient bien commencer à tester les réseaux. Seul problème, les combinés manquent. La faute aux fabricants. Une situation qui commence à agacer les opérateurs. Ainsi, l’allemand T-Mobile a renoncé à procéder aux tests initialement prévus en mai sur un échantillon d’abonnés, en raison de son incapacité à fournir un nombre suffisant de combinés. Pire, le président du directoire de l’opérateur, filiale mobile de Deutsche Telekom, s’est dit lundi incapable de préciser la date du lancement de ses services de troisième génération en Allemagne, expliquant que le calendrier dépendait de la disponibilité de combinés adaptés. « L’élément décisif, c’est la disponibilité de combinés pour le client et c’est quelque chose qui dépend des constructeurs de combinés », a déclaré Rene Obermann à des journalistes en marge du salon d’électronique grand public IFA de Berlin. Véritable arlésienne, l’UMTS, qui a quasiment ruiné les opérateurs, est loin d’être sur les rails.
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