L’annonce pourrait ressembler à une très mauvaise nouvelle pour Microsoft. La firme qui déploie de grands moyens pour imposer son système d’exploitation pour mobiles, WindowsMobile, pourrait voir échapper le client le plus gros de la planète, l’opérateur britannique Vodafone.
Le patron de Vodafone, Arun Sarin, estime ainsi dans un entretien au Financial Times que le logiciel du géant américain Microsoft destiné à la téléphonie mobile de 3ème génération (3G ou UMTS) n’est pas au point. Conséquence, l’opérateur n’utilisera pas Microsoft dans un premier temps. Vodafone doit lancer concrètement ses services 3G à la mi-2004 en Europe. La porte n’est pas fermée Néanmoins, la porte n’est définitivement fermée. « Ils sont en train d’essayer de résoudre certains problèmes et lorsqu’ils seront prêts, nous serons ouverts aux discussions avec eux », a poursuivi Arun Sarin. Gageons donc que Microsoft fera tous les efforts pour contenter Vodafone. Le marché des logiciels pour mobiles, toujours plus intelligents, est en passe de devenir un secteur très juteux et chacun espère obtenir la plus grosse part du gâteau. Microsoft, loin d’être leader, bataille ferme avec le dominateur Symbian (Nokia), mais aussi PalmSource, Linux… Mais pour Vodafone, l’erreur est interdite. Compte tenu des énormes investissements engagés pour l’UMTS (24 milliards d’euros!), Vodafone exige des mobiles et des logiciels les plus fiables possibles. Ainsi, en novembre dernier, on apprenanit que le britannique n’avait pas commandé de combinés 3G de Nokia (le leader mondial) les jugeant incomplets.
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.
FT Group, éditeur du Financal Times, a signé un accord avec OpenAI afin d'utiliser ses…
Au premier trimestre, Microsoft, Meta/Facebook et Alphabet/Google ont déjà investi plus de 32 milliards $…
La société britannique de cybersécurité Darktrace a accepté une offre de rachat de 5,32 milliards…