Après des mois de procédures, SCO qui affirme qu’IBM a placé dans Linux du code Unix faisant l’objet de sa propriété intellectuelle, a obtenu un (petit) coup de pouce de la part d’un juge fédéral de l’Utah.
SCO se plaignait de n’avoir pas reçu d’IBM suffisamment de matériel, dont du code et les commentaires des développeurs qui l’accompagnent. Le juge a ordonné à IBM d’ouvrir plus de code, ce qui devrait permettre à SCO d’étendre sa scrutation sur les développements d’IBM dans Linux. Et peut être de prouver qu’il y a bien eu emprunt de code -ce qui reste à prouver. Cette décision judiciaire reste en demi teinte? D’abord parce qu’elle tendrait à démontrer que SCO ne dispose pas encore de preuve suffisante et va devoir fouiller plus loin pour en trouver. Ensuite, parce qu’elle pourrait prolonger la procédure, dont la première issue est attendue pour le mois de Novembre. Or SCO jette ses dernières ressources dans la procédure en cours, dont le coût avec les experts juridiques et techniques est exorbitant. Rien ne prouve que l’affaire ne s’arrêtera pas plus rapidement, faute de combattants?.
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