« Ce dont l’Allemagne a besoin, c’est d’enfants allemands », « Les jeunes femmes allemandes sont en danger » « Les demandeurs d’asile battent leurs animaux à mort »…, voici le type de messages que de très nombreux internautes allemands ont reçu en fin de semaine dernière. Renvoyant vers des sites neo-nazis comme le NPD, la plupart de ces ‘spams’ racistes proviendrait d’un serveur de l’université de Rostock, de l’ex Allemagne de l’Est – révèle le journal Der Spiegel. Néanmoins, les auteurs véritables de cette offensive nauséabonde ont pris le soin de se dissimuler. Selon l’éditeur de sécurité Sophos, les messages sont expédiés avec des adresses d’emprunt, aussi respectables les unes que les autres, grâce à l’utilisation de machines infectées par le virus Sober.G. Sober.G est un ver de diffusion massive qui se renvoie vers des adresses e-mails récupérées sur un ordinateur infecté. Il a particulièrement touché les internautes allemands, car il est capable d’utiliser la langue allemande aussi bien que l’anglais généralement employé par les virus. Fidèles à leur tradition, les neo-nazis utilisent tous les moyens possibles pour diffuser leur propagande. Même les plus hightech.
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