Après Apple, qui a supprimé les verrous anticopie de sa plate-forme de téléchargement de musique iTunes. C’est au tour de la major Universal de les éradiquer !
Vivendi Universal Music a annoncé qu’il allait vendre les ?uvres de certains artistes comme la chanteuse Amy Winehouse, le rappeur américain 50 Cent, sans les fameux dispositifs de protection DRM (digital right management).
La compagnie explique, dans un communiqué, qu’elle n’a pas encore généralisé cette mesure, mais qu’elle veut la tester avec la vente de morceaux MP3 en ligne.
Ce retournement d’Universal, qui a longtemps été l’un des plus fervents adeptes des DRM montre que les maisons de disque sont de moins en moins nombreuses à penser que la vente de musique avec DRM peut endiguer le phénomène du piratage.
« Cette expérimentation va durer de ce mois d’août au mois de janvier 2008. Puis nous analyserons les résultats des ventes et l’impact qu’a cette mesure sur le piratage », précise le communiqué.
Google, Wall-Mart et Amazon.com sont partenaires de ce test. En revanche, la plate-forme iTunes ne figure pas sur la liste. Il s’agit pourtant du troisième disquaire américain.
Universal précise que les morceaux téléchargés pourront être joués sur tous les lecteurs, y compris sur les populaires iPod d’Apple.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.