Face aux délocalisations et à l’externalisation, les syndicats sont souvent impuissants. D’où le sentiment de victoire ressenti par les salariés de l’usine STMicroelectronics de Rennes. Celle-ci doit fermer en mars 2004 afin de délocaliser sa production en Asie du Sud-Est. Près de 500 salariés seront touchés par cette fermeture. Or, l’implacable processus semble avoir été bloqué. Temporairement.
Sous la pression des syndicats et de la majorité municipale de Rennes, la ministre de l’Industrie, Nicole Fontaine, a demandé à la direction franco-italienne du groupe de geler, pour deux mois, la procédure de fermeture. Reculer pour mieux sauter? Cependant, si la fermeture est repoussée, elle n’est pas annulée. Du côté de la direction de l’usine et du groupe, on se refuse à tout commentaire. D’ailleurs, selon les syndicats, le processus de fermeture de l’unité de production a bel et bien commencé ce mercredi 17 septembre. Pour les syndicats, la solution consisterait à industrialiser d’autres produits dans cette usine. On évoque la possible production de micro-systèmes électroniques qui utiliseraient les technologies des microprocesseurs. Une alternative qui, pour l’instant, n’a pas eu d’écho auprès de la direction.
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.