En ces temps de « crise » pour une industrie musicale toujours bénéficiaire et qui accuse les pirates de tous ses maux. La musique sur téléphonie mobile fait figure de grand sauveur. Reste à voir si -au prix actuel du titre- le modèle est viable
Enfin, c’est tout de même une bonne affaire pour la plus petite des majors. Ce partenariat bien qu’il ne soit pas assorti d’une clause d’exclusivité va ouvrir les portes du catalogue de la Warner à l’énorme réseau de la chaîne MTV de près de 670 millions d’abonnés hors des États-Unis. Et sans clause exclusivité, rien n’empêche Warner ou MTV de dénicher d’autres partenaires. L’objectif à terme n’est-il pas de développer l’offre musicale ? Une tache d’autant plus simple que MTV s’assure une forte présence à l’international sur les réseaux de China Mobil, de Verizon, Vodafone… Cette offre qui se compose de clips vidéo, d’émissions et de musique sera accessible en diffusion continue comme en téléchargement. Les tarifs vont dépendre des opérateurs de télécoms. MTV et la Warner doivent évoluer. Car, il n’existe pas encore de modèle économique et juridique unique en matière de diffusion de musique sur les téléphones portables. En conséquence et pour rassurer les investisseurs et les marchés financiers, les deux groupes ont décidé de se partager les revenus de ce service. A noter que, comme le souligne l’Expansion : « En France, les revenus des majors issus de la téléphonie mobile ont grimpé de 50% entre le premier semestre 2004 et le premier semestre 2005, passant de 5 à 7,5 millions d’euros. C’est deux fois plus que pour le téléchargement légal sur Internet (3,8 millions d’euros). » Reste que la principale explication de cette progression est le coût aberrant du téléchargement.
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