Après 6 mois de bêta publique, Windows Virtual Desktop passe en phase commerciale.
Le service est destiné à la virtualisation de postes de travail et d’applications sur Azure.
L’un de ses principaux arguments : la gestion de multiples sessions sur une même machine virtuelle. Cela concerne les bureaux Windows 10 et les environnements Office 365 ProPlus.
Windows Virtual Desktop permet aussi de migrer des bureaux et applications RDS (à partir de Windows Server 2012 et RDS 2012 R2).
Dans le cadre de cette offre, Microsoft met à contribution les technologies d’une entreprise qu’il a acquise l’an dernier : FSLogix. Ces technologies optimisent l’exécution des logiciels Office en environnements virtualisés.
Le client d’accès aux bureaux et applications virtualisés est proposé sur Windows, Mac, Android, iOS et en HTML5.
Le déploiement peut se faire dans toutes les régions Azure. Le stockage des métadonnées (noms des hôtes, des groupes d’applications…) n’est, en revanche, disponible qu’aux États-Unis.
Des partenariats sont en place pour étendre les capacités de Windows Virtual Desktop. Entre autres avec Citrix et VMware. CloudJumper (gestion des bureaux virtuels), Nerdio (automatisation des déploiements) et ThinPrint (services d’impression) sont aussi dans la boucle. Ainsi que Samsung, pour optimiser l’expérience sur les téléphones Galaxy associés à la station d’accueil DeX.
Le service est facturé à l’usage. Microsoft le propose aux clients suivants :
Photo d’illustration © Microsoft
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.