Comme prévu, le fondeur Intel explique faire appel de l’ amende infligée en mai dernier pour abus de position dominante au détriment d’AMD. Dans un communiqué Intel affirme que la sanction des autorités de Bruxelles a été rendue en ignorance de l’état compétitif du marché des micro-processeurs.
Le porte-parole d’Intel Chuck Molloy a ainsi expliqué à l’AFP : « Nous pensons que la décision de la Commission européenne est erronée et qu’elle ignore la forte compétitivité du marché des microprocesseurs dont résultent des prix plus bas et de meilleurs produits pour les clients« .
Une position qui pourrait bien avoir pour effet de repousser à 2010 voire 2011 la conclusion de la saga entre les positions communautaires et celles d’Intel. A l’issue d’une enquête initiée en 2000, la Commission européenne avait épinglé les pratiques commerciales d’Intel qui désavantageaient son principal concurrent AMD.
Si l’appel est reçu, Intel pourrait se voir rembourser l’amende. D’un autre côté, la firme joue sur les deux tableaux en précisant que malgré cet appel, elle « coopère avec la Commission afin de se conformer à sa décision« . Une manière de souffler le chaud et le froid ?
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