La vente de plus en plus probable de Blackberry comme porte de sortie à son déclin entraîne son lot d’hypothèses les plus surprenantes. La dernière en date : Cisco, Google et SAP s’intéresseraient à leur tour au constructeur canadien, rapporte Reuters, qui s’appuie sur des sources anonymes « proches du dossier ».
Ils ne sont pas les seuls. Intel, Samsung et LG auraient également montré des signes d’intérêts. En fait, ces mouvements sont la résultante de l’initiative que prend Blackberry en ce début de semaine d’inviter les acheteurs potentiels à se manifester. Il n’est donc pas surprenant que des poids lourds de l’industrie IT se penchent sur l’opportunité.
Aucune des parties n’a détaillé sa stratégie et ses points d’intérêts. Rappelons que Blackberry est ouvert à la vente dans sa globalité ou par activités et pour ses capitaux.
Face à la production des smartphones et aux ventes décevantes des derniers modèles (Z10 et Q10), principalement à l’origine des résultats catastrophiques du dernier trimestre (avec près d’1 milliard de dollars de pertes), Blackberry est essentiellement valorisé pour ses brevets (entre 2 et 3 milliards de dollars), ses technologies de messagerie et gestion de parc pour l’entreprise (entre 3 et 4,5 milliards) ou encore son capital et investissements (3,1 milliards).
Jusqu’à présent, seul l’investisseur Fairfax, et principal actionnaire du constructeur de Waterloo, a proposé, le 23 septembre, une offre de rachat global pour 4,7 milliards de dollars (9 dollars par action). Mais il lui faut encore réunir les fonds pour garantir cette opération. La semaine dernière, un autre fonds d’investissement, Cerberus, s’est également engagé à étudier la question.
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