Utilisation à grande échelle des ‘smartphones’ -avec le succès de l’iPhone auprès d’utilisateurs relativement néophytes – ou recours aux clés 3G fournies par les opérateurs mobiles (avec service dit « illimité » mais plafonné en réalité par le volume transmis, et engagement très strict, le plus souvent sur 2 ans !)… Les utilisateurs des solutions d’accès mobile à Internet n’ont pas fini de connaître bien des déconvenues.
Ainsi, l’agence France Presse révèle qu’un ex abonné d’Orange utilisateur d’une une clé 3G « illimitée » s’est retrouvé récemment à recevoir une facture faramineuse de 159.212 euros (!) pour un mois d’utilisation (mai 2009) : cf notre article du 23 novembre dernier). L’intéressé, incapable de payer une telle somme, et après 7 mois de tentative de transaction, a décidé de porter plainte contre son opérateur. Il invoque la « publicité mensongère ».
Plainte a été déposée par l’intéressé ce 21 décembre au tribunal de Fontainebleau (77). A la presse, le plaignant soutient que « Orange ne[lui]a jamais expliqué que le forfait illimité ne concernait que le temps passé, mais pas le volume utilisé ». L’offre commerciale prévoit en effet un plafonnement à 1 Go (giga-octets) par mois.
Selon cet utilisateur, Orange doit «cesser tout simplement d’utiliser des termes qui consistent à tromper les clients en oubliant de les informer ou en les informant mal », a-t-il expliqué.
« En pratique, c’est juste une clé permettant d’accéder au réseau pour consulter ses mails et accéder à Internet de manière très limitée », déplore l’intéressé.
Récemment, l’autorité de régulation Arcep soucieuse de telles situations touchant précisément aux clés 3 G, s’est inquiété des formules « tout illimité ».
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