Un septembre dernier, HP lançait deux Chromebooks : un de 11 pouces (sur base Intel Celeron N2830) et l’autre de 14 pouces (motorisé par un Nvidia Tegra K1). Voir à ce propos notre article « HP dévoile deux nouveaux Chromebooks de 11 pouces et 14 pouces »).
La firme livre aujourd’hui une version améliorée de son Chromebook 14 pouces, équipée d’un écran Full HD tactile de 1920 x 1080 points, de 4 Go de RAM et de 32 Go d’espace de stockage interne. Nous trouvons toujours aux commandes de cette machine le processeur ARM 32 bits Tegra K1 de Nvidia, disposant de quatre cœurs cadencés à 2,3 GHz et d’un puissant GPU.
Ce Chromebook de haut de gamme est annoncé aux États-Unis pour un prix de 440 dollars, soit environ 433 euros TTC. Un tarif sensiblement plus élevé que les 300 dollars demandés pour la version classique du Chromebook 14 pouces. HP n’a pas précisé si, quand et à quel tarif, sera distribuée cette machine en Europe.
Une occasion manquée pour le constructeur américain. Les Chromebooks poursuivent en effet leur conquête discrète du marché français. Équipées d’un OS adapté au monde du web, et utilisable sans maintenance, les machines Chrome OS sont en effet bien adaptées aux personnes souhaitant uniquement se connecter à Internet. Nous les trouvons aujourd’hui dans certaines grandes enseignes, comme la Fnac, Darty, Boulanger ou encore Carrefour.
À lire aussi :
Le Chromebook plus populaire que l’iPad dans les écoles américaines
La saturation des tablettes profite aux notebooks et aux Chromebooks
Google adapte ses Chromebooks au monde du travail
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.