Le cyberpirate britannique Gary McKinnon n’y coupera pas. Selon Associated Press, la Cour européenne des Droits de l’Homme (CeDH) a autorisé l’extradition du pirate britannique vers les Etats-Unis.
Condamné pour avoir notamment piraté des ordinateurs militaires américains, McKinnon voit sa seule et unique planche de salut s’échapper. Ses avocats avaient également demandé à la haute cour de justice britannique et la chambre des Lords de repousser l’extradition. Les deux organes avaient rejeté la requête. La CeDH a également refusé de retarder l’extradition du coupable. Le transfert pourrait intervenir dans les deux prochaines semaines.
L’avocate de McKinnon a précisé à quel point son client était « terrifié » à l’idée d’être condamné et incarcéré aux Etats-Unis. La justice américaine s’est pour le moment refusée à tout commentaire sur cette récente décision. Aux Etats-Unis, McKinnon encourt une peine de 10 ans d’emprisonnement, assortie d’une amende de 250.000 dollars.
L’épisode judiciaire autour de Gary McKinnon débute en 2001. Peu après le 11 septembre, le hacker britannique, à la recherche d’information sur les ovnis, avait piraté près d’une centaine d’ordinateur du ministère de la Défense américain et de la NASA. selon les autorités américaines, le pirate avait dérobé950 mots de passe et causé 750.000 dollars de dégâts.
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