En 2005, le marché publicitaire a pris un important virage. Les supports traditionnels, comme la télévision et la presse sont en perte de vitesse, notamment à cause d’un désengagement de plus en plus important des grandes marques.
La télévision enregistre une faible hausse de son volume publicitaire avec +1,3 % en 2005, tandis qu’en moyenne les médias obtiennent un volume d’investissement publicitaire en hausse de 5,9 %. Cette faible progression s’explique en partie, par la stratégie de la grande consommation qui « poursuit son repli ». La baisse des prix sur les produits de grande consommation initiée par Nicolas Sarkozy n’est pas étrangère à ce mouvement, explique le Figaro. Du côté des télécommunications, tout va bien, France Télécom est deuxième du Top 10 des annonceurs, avec au total prés de 241 millions d’euros d’investissement publicitaire en 2005, et SFR quatrième avec 217,5 millions d’euros. L’opérateur historique fait donc figure de moteur pour le marché publicitaire. D’ailleurs, le secteur des télécommunications est en plein boom avec une progression de 14 % des investissements. Pendant ce temps le « 3W » poursuit son bonhomme de chemin avec une impressionnante progression de 73 % des investissements. L’Internet français franchit pour la première fois de son histoire le cap du milliard d’euros d’investissement publicitaire.
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