Plus du tiers des ours polaires de la zone arctique seraient devenus hermaphrodites, conclut une équipe de scientifiques, d’après The Independent, du 16 janvier 2006.
Cette mutation serait directement imputable à la pollution. Un peu comme les poissons de nos rivières, qui avaient commencé à changer de sexe, sous l’influence des contraceptifs féminins dissous dans l’eau. Là bas, dans les îles de Svalbard, par exemple, une substance attaque, entre autres, les glandes thyroïdes, le sexe, et les fonctions cérébrales des animaux. Il s’agirait de diphényl éthers bromés, dont les chercheurs ont trouvé de fortes doses dans la graisse des ours. Ours anti-inflammable A la base, ce produit est employé pour traiter les tapis et le mobilier, de manière à ce qu’ils ne s’enflamment pas, en Europe et les Etat-Unis. Volatile, il est transporté par les airs jusqu’au pays des ours. Et, lors de la condensation qui se produit, dans le choc entre l’air humide et l’air froid, les toxines rentrent dans la chaîne alimentaire. Bref, « les produits chimiques que nous utilisons dans nos maisons sont entrain de contaminer la vie sauvage en arctique » résume Colin Butfield, porte-parole de Worldwide Fund for Nature. Pis, d’autres substances chimiques auraient été retrouvées dans la chaîne alimentaire. Les ours polaires ne nous remercieront jamais assez…
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