Qui n’a pas sa nouvelle brique low code ? Depuis quelques mois, le terme s’est répandu dans la communication des grands éditeurs. Par exemple chez Salesforce. En décembre dernier, le groupe américain avait lancé la marque Einstein Automate. Sa composante principale : un orchestrateur… low code, dont la bêta est prévue pour cet été.
Einstein Automate comprend aussi un outil no code d’intégration d’applications et de données. Baptisé Composer, on le doit à MuleSoft, qui l’a développé sur la base de son iPaaS Anypoint. Il passera ce 15 mars en phase de disponibilité générale. Pour le moment, uniquement dans Salesforce, propriétaire de MuleSoft. Ce dernier laisse toutefois miroiter un déploiement à plus grand périmètre, sans fixer d’échéance. Il projette par ailleurs des passerelles avec Anypoint, qui ferait office de console d’administration pour Composer.
Le low-code est aussi en première ligne chez ServiceNow, à l’occasion de la mise à jour semestrielle de la plate-forme Now. En particulier au niveau de la composante App Engine du portefeuille Creator Workflows. La voilà enrichie d’un « studio ». Il constitue un point d’entrée unique pour plusieurs outils existants, destinés essentiellement à la création de portails, de formulaires, de modèles de données, d’automatisations et d’applications mobiles.
Chez Microsoft, l’emblème low code de ces dernières semaines s’appelle Power Fx. Ce langage de programmation s’inspire largement des formules Excel et puise également dans SQL. Déclaratif, asynchrone et fortement typé, il propose aussi une expérience sans code (illustrée ci-dessous). Power Apps fut son premier terrain, pour le développement d’applications dites « de canevas ». Microsoft a commencé à l’ouvrir à d’autres de ses produits et l’a mis en open source.
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