Une nouvelle version mineure du navigateur web Google Chrome vient de voir le jour. Chrome 40.0.2214.111 est accessible sous Windows, OS X et Linux et corrige plusieurs bogues pouvant réduire la stabilité et les performances du butineur.
11 failles de sécurité sont également corrigées, dont trois sont classées comme importantes et donneront donc droit au versement de primes aux développeurs les ayant trouvées.
Notez qu’aucune de ces vulnérabilités n’est critique. Pas de risque donc de voir un pirate prendre le contrôle de votre machine à distance au travers de ces failles. La mise à niveau de l’application devra toutefois être réalisée sans tarder, car ces bogues peuvent provoquer des problèmes de transferts de données sensibles entre sites.
Habituellement, une seule mise à jour de maintenance s’intercale entre chaque mouture majeure de Chrome. En général afin de régler des soucis de sécurité. Un modèle qui n’a guère été suivi pour Chrome 40.
Livré le 21 janvier dernier, soit il y a à peine plus de deux semaines, le butineur de Google en est à sa troisième mise à jour mineure : une première le 26 janvier (pour corriger quelques menus bogues), une seconde le 30 janvier (pour régler des soucis avec la gestion des comptes utilisateur) et la mouture présentée aujourd’hui.
Ces mises à jour plus régulières deviendront-elles la règle pour les futures versions de Chrome ?
À lire aussi :
Chrome utilisé par un internaute sur deux en janvier 2015
Correctifs de sécurité en pagaille pour Google Chrome 40
Google livre une version de Chrome taillée pour iOS 8
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.