Le groupe télécoms NTT, d’origine japonaise, rassemble ses ressources dans la sécurité IT au niveau mondial dans une nouvelle branche : NTT Security. Dévoilée en juin, elle est entrée en mode opérationnelle début août.
La nouvelle structure fédère les activités de prestations spécialisées dans ce domaine : services managés pour le compte d’entreprises, détections et d’analyses des risques et menaces, assistance technique.
Une manière de rationaliser les compétences de toutes les sociétés dédiées (ou non) à la sécurité IT de la galaxie NTT : NTT Com Security (Allemagne), Solutionary (Etats-Unis), Dimension Data (solutions informatiques au sens large, basé en Afrique du Sud), NTT Innovation Institute (USA, Californie) et NTT Communications.
En termes d’organisation, NTT Security a installé son siège mondial situé à Tokyo et sera dirigé par Jun Sawada (Premier vice-président exécutif de NTT).
La nouvelle société dispose de quatre antennes régionales de supervision (États-Unis, Europe, Asie-Pacifique et Japon). Ce qui permet de couvrir pour l’instant une quinzaine de pays.
Cette nouvelle branche emploie 1400 personnes au global, dont une quarantaine en France actuellement.
En Europe, l’activité est chapeautée par Frank Brandenburg (CEO de NTT Com Security, basé en Allemagne), précise ITespresso.
La relation client sera animée par des filiales du groupe télécoms japonais : Dimension Data, NTT Communications et NTT Data.
A lire aussi :
Dell revend ses activités service au Japonais NTT Data
5G : NTT Docomo cumule les records de performances
Un temps pressenti pour constituer le socle d'une suite bureautique AWS, Amazon WorkDocs arrivera en…
Eviden regroupe cinq familles de serveurs sous la marque BullSequana AI. Et affiche le supercalculateur…
Le dernier Magic Quadrant du SSE (Secure Service Edge) dénote des tarifications et des modèles…
Formats de paramètres, méthodes d'apprentissage, mutualisation GPU... Voici quelques-unes des recommandations de l'ANSSI sur l'IA…
À la grogne des partenaires VMware, Broadcom répond par diverses concessions.
iPadOS a une position suffisamment influente pour être soumis au DMA, estime la Commission européenne.