Oracle a confirmé mercredi préparer l’ouverture, d’ici 2021, d’un datacenter en France. L’infrastructure technique déployée viendra conforter la localisation de ses services cloud.
Outre la France, Oracle ambitionne de se doter d’autres centres serveurs. L’Italie, la Suède, mais aussi le Chili, Singapour, l’Afrique du Sud et Israël sont concernés.
L’annonce intervient en marge de l’officialisation d’une nouvelle région Cloud, la 25e, à San José (Californie). Avant la France, les prochaines ouvertures devraient concerner le Royaume-Uni, le Brésil, les Émirats Arabes Unis et l’Arabie Saoudite. Les clients et leurs partenaires présents sur ces marchés disposeront ainsi d’un accès régional aux services cloud de la firme, dont Oracle Autonomous Database et Oracle Autonomous Linux.
Dans la région de San José, l’interopérabilité multicloud entre Oracle et Microsoft Azure est également assurée. Les clients ont ainsi la possibilité de répartir leurs charges de travail critiques entre les infrastructures Oracle Cloud et Azure.
« Nous investissons dans notre expansion mondiale », a déclaré Clay Magouyrk, vice-président exécutif d’Oracle Cloud Infrastructure. Et ce « pour répondre à la demande croissante de nos clients » dans le cloud public. « Les entreprises ont besoin de régions cloud indépendantes sur plusieurs sites et dans plusieurs pays, pour répondre aux exigences de localisation des données et faciliter la reprise post-crise », a-t-il ajouté.
D’ici l’été 2021, Oracle a pour objectif de se doter de onze nouvelles régions cloud, France incluse. Le fournisseur américain disposerait alors au total de 36 régions cloud.
(crédit photo © Shutterstock)
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