A l’instar des Panama Papers ou des Football Leaks, Mark Zuckerberg a choisi de diffuser sa dernière lettre dans plusieurs journaux à travers le monde.
En l’occurrence, dans Le Journal du Dimanche en France, le Washington Post aux Etats-Unis, le Frankfurter Allgemeine Zeitung en Allemagne et le Sunday Independent en Irlande.
Le patron de Facebook y développe ses idées pour réguler Internet, et il voit quatre axes de travail : la modération et la censure des contenus violents et haineux ; le bon déroulement des élections ; la protection de la vie privée ; la portabilité des données personnelles.
Alors que le réseau social est dans le collimateur de la justice et des enquêteurs depuis un an, il réclame l’aide des Etats et des pouvoirs publics « pour assurer la sécurité de notre communauté » car « Personne n’attend des entreprises qu’elles répondent seules à ces enjeux. »
Parmi les nombreuses pistes de travail avancées, on notera l’idée de créer un standard pour la portabilité des données, pour permettre à un Internaute de facilement récupérer ses données et les utiliser sur un autre service ou une autre plate-forme.
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