L’activité des réseaux télécom a été la plus touchée par l’éclatement de la bulle Internet. Pendant de longues années, les entreprises ont gelé leurs investissements et les leaders du secteur ont tous souffert, notamment le suédois Ericsson et l’américain Lucent.
Depuis plus d’un an, l’activité semble repartir. Les contrats se multiplient notamment autour de l’Internet haut débit et de la téléphonie mobile. Les équipementiers renouent avec la croissance après plusieurs trimestres consécutifs de pertes. Néanmoins, chacun veut rester prudent tout en affichant un certain optimisme. Le français Alcatel confirme la reprise mais souligne qu’elle « est encore difficile à quantifier ». Lors du Forum Télécoms des Echos, Serge Tchuruk, p-dg du groupe, a même jugé que le terme ‘rebond’ était « peut-être excessif ». Alcatel souligne que si la croissance des volumes d’équipements vendus est « considérable », elle est en partie annulée par les baisses de prix. Mais d’ajouter: « on a le sentiment aujourd’hui que les volumes progressent plus vite » que les prix ne baissent. Du côté de Nokia, numéro deux mondial des équipements pour téléphonie mobile (derrière Ericsson), on estime que « le marché s’est clairement stabilisé » et on table cette année sur « une légère croissance ». Le groupe finlandais profite du développement de la téléphonie mobile GSM dans les pays émergents, de l’essor de la téléphonie sur IP et de l’apparition de la 3G (UMTS). Nokia assure ainsi avoir participé à 15 réseaux 3G sur les 35 existants dans le monde.
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